Désolant .....

Un peu trop puissant ? ...




Journée à Alquezar




Visite du village , puis 4 heures de randonnée sous un soleil de plomb...
Paysage magnifique et balade trés agréable qui mèle montagnes et arréts baignade dans le rio Vero.
Amateurs de marche n'hésitez pas ! ....







Je me souhaite un bon anniversaire !



8 Juin 2007 , il faisait beau et chaud mais surtout je célébrais ma 22 ème année sur terre...
Merci à tous pour ce petit début de soirée, lo pasé super bien !!!
Pour ceux qui ont oublié, nous en reparlerons plus tard...

La télé-réalité brise tous les tabous.

30 mai :
Le 'Big Donor Show', une émission de télé-réalité hollandaise, produite par la société Endemol , sera diffusée vendredi 1er juin. "Une femme de 37 ans, connue seulement sous le nom de Lisa, est en train de mourir du cancer sans que sa maladie n'atteigne ses reins qui seront donc bradés. Trois concurrents, âgés entre 18 et 40 ans, souffrant tous de maladies dégénératives qui attaquent leurs reins, se feront compétition à la télévision pour déterminer qui est le plus aimable selon les auditeurs. Les auditeurs enverront des SMS pour lui dire qui devrait recevoir l'un de ses reins.
La classe politique hollandaise dans son ensemble est dégoûtée, mais elle est forcée de constater que cette émission n'enfreint aucune loi. La télé est intéressante parce qu'elle n'a aucune loi éthique. Mais le plus drôle sont les justifications données par les producteurs du programme affirmant qu'il 'souligne le problème du don d'organes' et qu'il pourrait ainsi aider à sauver des vies.

4 juin :
C'est à la fin de l'émission 'The Big Donor show'. Les téléspectateurs néerlandais ont appris qu'il s'agissait d'une imposture. La chaîne BNN a expliqué avoir monté cette opération pour sensibiliser la population au problème du don d'organes. Jean-Noël Cuénod n'est pas convaincu et regrette cette dérive de la télévision. "Le producteur néerlandais [Endemol] ne fait que s'inspirer de la mentalité ambiante. La dictature de l'émotion est devenue tellement ancrée que nous avons besoin d'émotions toujours plus intenses. Pour nous mouvoir, il faut nous émouvoir. Et pour nous émouvoir, rien de tel que briser les tabous. Dans cette société , la raison devient un gros mot et le désir de comprendre, une vilaine manie. Cette industrie est née à une époque que nous définissons avec fierté comme post-idéologique et qui ne comprend rien d'autre que l'argent.
" Notre nouveau capitalisme médiatico-financier n'a pas besoin de citoyens, mais de consommateurs."

Hypocrisie ...

Le cyclisme est l'une des disciplines sportives les plus touchées par les affaires de dopage, et un climat de suspicion généralisée s'est logiquement développé ces dernières années. Dans certains cas, les doutes sont justifiés...

Ces dernières semaines, les aveux de dopage tombent en rafale , sur le cyclisme allemand notamment . Après Jef d'Hont, l'ancien soigneur de l'équipe Telekom, qui a révélé, dans "Mémoires d'un soigneur publiées en avril" , comment des coureurs de la formation allemande
avaient eu recours à l'EPO dans les années 1990, après Udo Bölts, triple champion d'Allemagne,
qui a démissionné de ses fonctions de directeur sportif de l'équipe Gerolsteiner , deux médecins et un coureur de renom ont à leur tour reconnu leurs pratiques dopantes.
Lors d'une conférence de presse, Erik Zabel, 36 ans, six fois meilleur sprinteur du Tour de France, a admis s'être "dopé à l'EPO lors du Tour de France 1996" après avoir entendu parler dans le peloton des "rumeurs sur un produit miracle".
Présent au côté d'Erik Zabel, Rolf Aldag, ancien coureur de Telekom et actuel manageur de
l'équipe T-Mobile, a expliqué que "cela se faisait en petit comité, chacun dans son coin, ce n'était pas quelque chose dont on était fier". "Ce sport avait et a toujours un énorme problème avec le dopage", a-t-il ajouté.

Le cyclisme vit dans l'hypocrisie depuis des décennies, hypocrisie où tout le monde est complice et où ce sont les coureurs qui paient de leurs vies les pots cassés. Malgré les effets d'annonce, le dopage est plus performant chaque année, et le tour va de plus en plus vite. L'image du sport professionnel devient désastreuse. Mais il en faudrait aparemment plus pour que de réelles décisions soient prises?